Elle y repense à chaque fois, tu sais. Elle y repense chaque mois de juin lorsqu'elle monte à pieds la vicinale qui longe l'Arguignon, pour aller chiper des cerises sur le coteau. Elle y repense chaque mois de juin quand l'air acquiert cette si singulière...
Lire la suiteJe me fends de ce dazibao pour rien, chère madame — pour rien puisque vous ne le lirez vraisemblablement pas. Je ne vous imagine pas muser sur Internet. Je me fends de ce dazibao parce qu'en descendant la grand-rue je vous ai vue, tout à l'heure, allongée...
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