Comme de bien entendu elle s’était dépêchée de finir son travail. Elle avait sans relâche astiqué, rangé, compté, encaissé, rempli — se disant que chaque seconde gagnée serait une seconde de plus à consacrer à regarder la nuit, quelques sourires imaginaires...
Lire la suiteBien sûr cette chose a connu ses moments de gloire, la prédation des hordes, les affres de la fécondation, la singularité des saisons le vertige du potager. Bien sûr. Bien sûr elle n’a rien demandé, elle la déracinée, la bringuebalée. Celle que l’on voit...
Lire la suiteL'échalas sur l'échalote a pleuré sur les pleurotes Et Queneau pour ses quenottes n'a grillé que des griottes.
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Vous vous souvenez de Zoupinotte , l'escagotte du montant de la potte ? Eh bien la pauvre a glissotte et s'est cassée la margoulotte.
Lire la suiteEn fait c'est la douleur de l'impuissance qui est intolérable. Ce moment où l'on n'a plus aucun pouvoir décisionnaire quant à sa propre existence, ce parfois éternel instant où tout bascule, où le flot nous malmène, où le cours de notre propre vie s'exonère...
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Non non, ce n'est pas inintéressant, bien au contraire. C'est une belle allégorie sur la solitude et le droit à disposer de soi-même. J'ai pleuré d'empathie pour ce zèbre. Parce que même si je suis folle, je sais ce qu'il peut se passer dans sa tête....
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Avec un grand thé Une grande hache Un nœud très aigu Un petit tas à l’accent… circonspect Un autre grand thé (s’il vous plaît) Un petit air Et un grand… euh… ... avec un grand souffle qui fit de cet automne-là le dernier de sa vie.
Lire la suiteEn ce moment je me demande pourquoi le miroir est si prompt à nous refléter la gauche à droite et la droite à gauche alors qu'il nous laisse bien sagement le bas en bas et le haut en haut. En ce moment je me demande pourquoi il fait nuit tous les jours...
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