Un matin tout bascule : la main, la séparation, le chaud, le froid, l’emballage, l’obscurité, le bateau, tangage, roulis, camion, réserve.
Un midi il espère cette employée maladroite qui à l’heure de remplir les machines ouvrira le paquet – ultime chance de revoir le ciel.
Un soir il tombe de mille fois sa hauteur.
Une nuit il voit s’approcher l’aspirateur, et le petit grain de café prie pour que sa maman ne sache jamais rien de ce que fut son destin.