Debout sur la grève, La Petite Princesse (*) cherchait quoi demander à Sainte-Exaspérée. Un mouron ? Un bougon ? Un bouton ? N’importe quoi eût fait l’affaire – pourvu de ne pas rester à regarder les gens mourir de soif sur une planète inondée.
(*) Bah oui, Le Petit Prince est sous copyright.